La pluspart du temps, ll n’y a pas de développement moral atteignant le niveau des idées démocratiques sans interaction de qualité avec les autres.
L’isolement est un fléau qui ravage les cerveaux. Celui des jeunes est particulièrement inquiétant. Il ne s’agit plus du « c’était mieux dans mon temps ». On parle d’une révolution radicale qui s’est opéré dans les conditions de vie de la jeunesse qui la fait régresser socialement. Le nez collé au téléphone et les rues vides d’enfants, ces derniers ont de plus en plus de difficulté à décoder les autres et à gérer leurs émotions.
L’égocentrisme est aussi plus répendu parce que les carences dans l’apprentissage à être en relation avec l’autre réduit les possibilités de sortir de son propre monde.
Contrairement au cerveau autiste, ces jeunes ont simplement sous développé leur cerveau social, plus atrophié qu’il ne l’était avant.
By the way, les relations sociales sont un facteur clé du bonheur. Notre société a en quelque sorte amélioré sa productivité en matière de production de la maladie mentale.